Filed under: Fleurs secrètes
de Wang Bing
Filed under: Fleurs secrètes
de Marguerite Duras
Césarée/Les mains négatives
Filed under: Fleurs secrètes
Leviathan/Un lac/La vie nouvelle/Sombre
Filed under: Agenda
Suite du cycle…
5 février 2014, à 19h00 – Centre Pompidou, Paris
Vivante et créative, Rome est dans les années soixante le lieu où se rencontrent les artistes néo-avant-gardistes italiens et étrangers, où se fonde une communauté artistique se partageant un terrain d’expérimentation commun et pluridisciplinaire. Réunis au sein de la Coopérative du Cinéma Indépendant fondée en 1967, artistes, cinéastes et amateurs d’horizons différents se font les promoteurs d’une nouvelle esthétique cinématographique comme celle du peintre Luca Patella, ou encore celle d’Alfredo Leonardi , porte-parole des cinéastes indépendants, qui invite pour son film le poète Nanni Balestrini et l’artiste Pino Pascali ; et enfin celle du couple Lajolo-Lombardi où la rigueur de l’engagement politique remet en cause les fondements même de la contre-culture.
Séance introduite par Bruno Di Marino (historien de l’image en mouvement)
Alfredo Leonardi, Libro di santi di Roma eterna, 1968, 16mm, 14’/ Luca Patella, SKMP2, 1968, 16mm, 30’/ Anna Lajolo & Guido Lombardi, C -La casa del fuoco, 1968, 16mm, 11’/ Giorgo Turi & Roberto Capanna, Voy-age, 1964, 16mm, 11′
Filed under: Agenda
C’est ce soir Jeudi 30 à 18h!
Rencontre/vernissage/signature
Peter Goldman à Re:Voir/The Film Gallery, 43 rue du Faubourg Saint Martin, Paris 10.
Les Editions Re-Voir édite le DVD des deux films : voir là
Reconnu pour ses deux long-métrages ECHOES OF SILENCE (1964) et WHEEL OF ASHES (1968), Peter Goldman n’a plus filmé et a tombé dans l’oubli.
Mais ces films continuent d’inspirer, comme vous pouvez lire dans cet article sorti il y a deux semaines aux Inrocks: là
WHEEL OF ASHES est projeté tous les soirs à 18h au Cinéma Saint André des Arts.
Dimanche 2 février à 18h les deux films seront projetés, en présence de l’équipe.
Filed under: Fleurs secrètes
Plusieurs films de Lav Diaz à télécharger ( version sous titrée en Italien ou Anglais ) :
Partie 2, Partie 3, Partie 4, Partie 5 Concernant la partie 4, je n’arrive pas à la lancer mais je l’ai téléchargé sans difficulté
2007 / Philippines / 00:00:09
vidéo / Noir et blanc
En novembre 2006, le typhon Reming (ou Durian) détruit la région de Bicol, sur Luçon, l’île principale des Philippines. Cette catastrophe, la plus mortelle connue de mémoire d’homme, tue des centaines de personnes. Des familles entières sont anéanties, des paysages détruits ou bouleversés, recouverts de boue, de débris et de roches, déserts où les routes se sont changées en torrents et où les forêts ont été déchiquetées. Le poète Benjamin Agusan revient à sa ville natale de Padang, près de Legazpi, la plus durement frappée de la région. Depuis sept ans, il vivait en Russie. Il y a travaillé, enseigné, écrit, il y a eu une compagne russe, et un fils, qu’il a perdu. Il revient pour accomplir un deuil, celui de ses parents, de sa sœur, et d’une femme aimée, Amalia, qu’il a abandonnée. Il retrouve d’anciens compagnons : une peintre-sculpteur, Catalina, un ami poète devenu paysan, Teodoro. Tous trois arpentent les lieux dévastés, et les pentes du volcan Mayon, magnifique et menaçant. Tous trois interrogent le sens de l’art, celui de l’amour, le destin des Philippines. Les fantômes du passé hantent Benjamin, des visions d’autrefois, la folie et la possession qui ont tourmenté ses parents, les images d’une ville verdoyante et paisible, comme un paradis perdu. Un mystérieux ogre rôde dans la forêt. A Manille, Benjamin rencontre un paramilitaire qui a été son tortionnaire… Au fil de la marche à la folie et à la mort de Benjamin, les survivants du typhon disent à la caméra la tragédie, les deuils, l’incurie gouvernementale, la survie de « l’après ». Des enfants jouent dans les décombres, des femmes luttent pour leur famille. L’enquête documentaire et la fiction, indissociables, explorent la catastrophe, lui donnant ainsi un caractère métaphorique de l’histoire philippine, sans jamais trahir la réalité des personnes ni celle des lieux. « Encantos » signifie « enchantement » mais c’est aussi un terme qui désigne les êtres surnaturels. Le titre dit déjà beaucoup sur le caractère des Philippins. Nous vivons sur une île enchantée, mais traversée de contradictions. Nous sommes à la fois très riches et très pauvres, très beaux et très laids. Nous connaissons la vérité mais nous ne savons pas la rechercher. C’est très philippin. Nous savons que les Marcos nous ont fait beaucoup de mal, mais nous avons été incapables de les traduire en justice. Nous n’avons récupéré qu’une petite partie de leur fortune en 30 ans, c’est pathétique. Avant même que les Latino-américains aient l’idée du réalisme magique, nous, nous avions déjà Imelda Marcos ! » (L.D.
Commentaires Avec Roeder Camanag (Benjamin Agusan / Hamin), Kalila Aguilos, Sophia Aves, Angeli Bayani (Catalina), Gemma Cuenca (Carmen), Perry Dizon (Teodoro)
Informations complémentaires ImageLav Diaz
SonGeiorge Vibar, Laurel Lee Penaranda
MontageLav Diaz, Dante Perez
Producteur(s)Sine Olivia
Lieu(x) de tournagePhilippines
Critique parue sur CRITIKAT
Filed under: Agenda
Festival Ecran Saint Denis : là
samedi 8 février
16:00/écran 1
En présence de Fernando Arrabal
FANDO ET LIS
D’ALEJANDRO JODOROWSKY
18:15/écran 1
Séance suivie d’une rencontre avec
Alejandro Jodorowsky
EL TOPO D’ALEJANDRO JODOROWSKY
21:15/écran 1
En présence d’Alejandro Jodorowsky
LA MONTAGNE SACRÉE
D’ALEJANDRO JODOROWSKY
dimanche 9 février
17:30/écran 1
Séance suivie d’une rencontre
avec Alejandro Jodorowsky et
Pascale Montandon-Jodorowsky
LA DANZA DE LA REALIDAD
D’ALEJANDRO JODOROWSKY
21:15/écran 1
En présence d’Alejandro Jodorowsky
SANTA SANGRE
D’ALEJANDRO JODOROWSKY
Filed under: Agenda
Scratch Projection – Mardi 11 Février 2014 à 20h30
Cinéma Action Christine
4, rue Christine
75006 Paris
Carte blanche à Claire Renier.
Depuis le début du XXème siècle, la marche est présente aussi bien dans le champ des arts plastiques, de la danse ou du cinéma, repoussant les limites de l’art.
Comme nous le verrons dans cette séance, les cinéastes ont recours à la marche afin d’enregistrer un parcours, circonscrire un lieu ou encore créer une vision subjective du réel. A partir des années soixante, la marche devient parfois le sujet du film lui-même, les cinéastes mettant en avant simultanément l’acte de marcher et de filmer.
MÜNCHEN-BERLIN WANDERUNG de Oskar FISCHINGER 1927 / 16 mm / n&b / sil / 5′ 00 |
|
SWAMP de HOLT Nancy & SMITHSON Robert 1971 / 16 mm / coul / son / 6′ 00 |
|
BLOCK PRINT de George GRIFFIN 1977 / 16 mm / coul-n&b / sil / 17′ 00 |
|
LE HAVRE : PORT de Christophe GUÉRIN 2008 / vidéo / n&b / son / 6′ 00 |
|
RÊVE RIVE de Karel DOING 2003 / 16 mm / coul / son / 6′ 00 |
|
PROMENAUX de Stefano CANAPA 2000-2001 / 16 mm / n&b / son / 12′ 00 |
|
TROIS INCURSIONS DANS UN ÉBOULIS de Luc MEICHLER 2001 / vidéo / coul / son / 7′ 45 |
Filed under: Agenda
Braquage organise une rencontre avec Patrice Rollet, auteur d’un livre sur lesDiaries de Jonas Mekas qui sort en janvier (édition Yellow Now). A cette occasion, il présentera le film de Mekas : He Stands in the Desert Counting the Seconds of his Life. (États-Unis, 1985, 16mm, 150’, couleur, filmé de 1969 à 1984, monté en 1985).
Cette séance aura lieu le jeudi 30 janvier, à 20h30, au Cinéma Action Christine ( 4 rue Christine / Paris M° St Michel ).
Plus d’informations : Braquage Patrice Rollet Jonas Mekas
Filed under: Agenda
de Wang Bing
Sur Arte – Mardi 28 Janvier à 1 H
Sur Arte+7: 28.01-04.02.2014 – ici
Version télé, beaucoup plus courte et montage différent que la version cinéma : les trois soeurs du Yunnan ( sortie prévue en Avril ) et rétrospective Wang Bing en Avril au centre Pompidou ( à noter que la version télé ne sera pas montrée )
Filed under: Fleurs secrètes
Ecouter René Vautier – René Vautier, le petit breton à la caméra rouge/ émission là bas si j’y suis : ici
Filed under: Agenda
Voir là aussi pour une autre programmation universitaire : là
Très belle programmation à la cinémathèque universitaire
Filed under: Agenda
suite du cycle…
Off&Pop : Mario Schifano en 16 mm
29 janvier 2014, à 19h00 – Centre Pompidou, Paris
Artiste autodidacte, Mario Schifano (1934-1998) développe une œuvre pluridisciplinaire d’influence Pop où les codes esthétiques publicitaires viennent se confondre aux enjeux sociopolitiques de son époque. Réceptif à l’idée que le film lui permettrait de dépasser les limitations qu’il rencontre dans sa peinture, l’artiste romain réalise, dans les années 1960 et 1970, une série de courts métrages en 16mm dans lesquels transparaissent les références au cinéma underground américain, en particulier celui d’Andy Warhol.
Reflex, 1964, nb, son, 16′ /Souvenir, 1967, nb, son, 11′ / Ferreri, 1966-9, nb, sil, / Vietnam, 1967, nb / coul, sil, 7′ / Anna, 1968-9, nb, sil, 12′ /Film, 1967, nb, sil, 15′
Filed under: Agenda
14e journées cinématographiques dionysiennes (Saint-Denis) du 5 au 11 Février à l’Ecran Saint Denis
Pleins de belles choses autour du thème UTOPIA
A noter lundi 10 février/écran 1 à 20:00 / Présentation de RÉVOLUTION ZENDJ de TARIQ TEGUIA, sans doute l’un des meilleurs cinéastes actuellement
ALGÉRIE–FRANCE–LIBAN–QATAR/2013/COULEUR/ 2H17/VOSTF/DCP
AVEC FETHI GARES, DIYANNA SABRI, AHMED HAFEZ, WASSIM MOHAMED AJAWI, GHASSAN SALHAB,
AMOS POE
Séance suivie d’une rencontre avec Tariq Teguia et Vincent Dieutre
animée par Cyril Neyrat
« L’intrigue est assez ténue: un journaliste algérien et une étudiante d’origine palestinienne vivant en Grèce partent tous deux pour un voyage au cours duquel ils vont se rencontrer avant que leurs chemins ne se séparent. Parti du Sud algérien, où de jeunes émeutiers défient le pouvoir, le jeune homme est en quête d’éléments d’information sur une révolte menée au IXe siècle par les esclaves noirs (c’est le sens de « zendj ») du califat abbasside.
Partie d’un campus en pleine insurrection sociale, la jeune femme transporte des fonds réunis par des étudiants grecs pour la cause palestinienne.
Naissant dans des foyers de rébellion des deux côtés de la Méditerranée, ce film brûlant et fantomatique à la fois cherche, sur les ruines fumantes de l’utopie révolutionnaire, aux côtés des perdants de l’Histoire, le chemin d’un nouveau partage des espérances, la cartographie d’un nouveau réveil des humiliés. Il traverse pour cela les territoires de l’Algérie, de la Grèce, du Liban, de l’Irak et des États-Unis, depuis le spectre d’une révolte noire jusqu’au baiser furtif d’un garçon et d’une fille lisant à deux voix un essai sur l’anarchie. »
JACQUES MANDELBAUM, LE MONDE, 5 DÉCEMBRE 2013
Télécharger le programme : PROGRAMME-BD