Philippe Cote

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Au Centre Pompidou

« Questions d’artistes » – Cinéma et Jeune création #3
Projection au Collège des Bernardins-20 rue de Poissy, 75005 Paris

Lundi 1 Octobre 2012 à 20 H

Depuis plus de dix ans, Jacques Perconte travaille le médium numérique pour faire apparaître, dans les paysages qu’il filme, des qualités plastiques et picturales tout à fait inouïes.

Le film Impressions propose une exploration chromatique de la Normandie des impressionnistes, déclinée en plusieurs tableaux, qui s’efforcent de capter ce qui passe dans l’image et la conduit au-delà d’elle-même, la trace d’une infinitude.

Plusieurs travaux de Jacques Perconte seront présentés lors de cette séance, dont deux films inédits.

http://www.jacquesperconte.com/
http://blog.technart.fr/
http://www.collegedesbernardins.fr/index.php/art/cinema/cycle-l-jeune-creation-r-paysages-numeriques.html

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du 11 septembre au 23 septembre 2012 à la Galerie du Jeu de Paume

Il n’y a pas de meilleur projet d’avenir pour un cinéaste que de participer avec ses petits moyens à la transformation radicale et systématique de sa société.

Ahmed Bouanani

L’année 2012 marque les cinq ans de la Cinémathèque de Tanger. Plus de 1100 films ont été projetés sur nos deux écrans. De nombreux films ont également rejoint nos archives. Durant ces cinq ans, l’équipe de la Cinémathèque a, peu à peu, créé un public pour des œuvres qui trouvent rarement le chemin des salles de cinéma marocaines : le documentaire, le court-métrage, le film et la vidéo d’artiste, entres autres. Un programme qui nous tient particulièrement à cœur a aussi grandi avec le lieu : le ciné-club pour enfants, laboratoire où se forme le public de demain.

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du 4 au 14 Octobre au cinéma Méliès à Montreuil

A suivre…

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Egalement, le nouveau film de Boris Lehman disponible en DVD aux éditions RE:VOIR : là

BORIS LEHMAN

Histoire de mes cheveux – de la brièveté de la vie, 16mm, color, 91 minutes, 2011 (DVD Pal Interzone, version originale : française et russe – English subtitles – Deutsche Untertitel).

Contient un livret de 24 pages en couleur.

Production: DOVFILM et LA FONDATION BORIS LEHMAN en coproduction avec la RTBF (télévision belge) / ARTE GEIE, le Centre audiovisuel à Bruxelles (CBA) Good and Bad News, le Ministère de la Communauté française. Avec l’aide du Fresnoy, Studio des Arts contemporains.

Image : Antoine Meert – Son : Jacques Dapoz – Assistanat : Juliette Achard – Voix : Boris Lehman et Alexandre von Sivers – Montage : Ariane Mellet – Mixage : Simon Apostolou – Texte et réalisation : Boris Lehman – Avec entre autres : Nadine Wandel, Marie Duez, Igor Pototsky, Ludmilla Samodayeva, Olgied Kuryllo.

Produit avec l’aide du Centre du cinéma et de l’audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

L’histoire de mes cheveux tient en deux lignes. Ils étaient noirs et longs. Ils sont devenus blancs. Je ne les ai plus coupés depuis 1982, il y a donc près de trente ans. Histoire de mes cheveux est un voyage, aussi bien dans l’espace que dans le temps. Ceux qui cherchent dans ce film quel- que vérité tant géographique que scientifique ou historique seront déçus. Le film prend conscience des faits et lieux réels pour aussitôt s’en distancier, par le biais de la poésie et de la fiction. L’auteur a mélangé à sa façon l’histoire de Samson et Dalila, le voyage des condamnés à mort jusque dans les camps, la science des cheveux et quelques réflex- ions sur le sens et la fragilité de la vie.

Ce DVD est disponible aux éditions RE:VOIR :

43 rue du Faubourg Saint Martin/75010 Paris

info@re-voir.com

tel : 0954.225.111

fax: 01.424.00.427

A suivre…

1/ Expériences
Une fois par trimestre, Khiasma offre une carte blanche à l’emblématique collectif de production L’Abominable. Essais documentaires, found footage et recherches plastiques, une traversée de tous les registres du cinéma expérimental.
 
2/ C’est dimanche !
Une fois par mois, « C’est dimanche ! » propose un programme familial de cinéma d’animation. La séance est suivie d’un conte ou d’un atelier. Les parents sont impliqués dans l’organisation d’un goûter convivial.

3 / Invisibles (A partir de 2013)
Ce rendez-vous mensuel permet de découvrir des films rares ou inédits en France (parfois traduits pour l’occasion) présentés par leurs auteurs sous la forme d’une projection/rencontre. Composé d’œuvres inclassables, ce programme ouvre de nouvelles perspectives documentaires en s’intéressant aux narrations spéculatives et au re-enactment notamment.

A la cinémathèque Française – Septembre/Novembre

Belle comme le jour, le dernier film en date de Dominique Gonzalez-Foerster, constitue selon les termes de l’artiste « un prélude et prequel à Belle de jour de Luis Buñuel et à Belle toujours de Manoel de Oliveira ». Vertigo y apparaît en vecteur de variation, une sorte d’échangeur figuratif entre les trois œuvres, une porte à tambour qui permet d’entrecroiser les reflets et de considérer le film de Dominique Gonzalez-Foerster, aussi, au titre d’une réponse à La Déraison du Louvre d’Ange Leccia (2005). Le grand critique et programmateur Amos Vogel, tout récemment disparu en avril 2012, décrivit ainsi Belle de jour : « Les prémisses mêmes de l’œuvre sont doublement subversives : il s’agit d’une bourgeoise refoulée qui brûle de se prostituer en secret, l’illusion cinématographique étant, au cours du film, ébranlée à plusieurs reprises. L’action en est émaillée d’images traumatisantes, suggérant diverses pratiques sexuelles : sado-masochisme, masturbation nécrophile, draps tachés de sang à la suite d’étreintes, sans parler d’un ‘client’ japonais transportant une boîte mystérieuse qui effraie les prostituées. Tous ces détails sont d’autant plus inquiétants qu’ils demeurent inexpliqués. Grand maître en subversion, Buñuel nous oblige de ce fait à suppléer au récit par nos propres tensions sexuelles, nos propres désirs, nos propres craintes ». (in Le Cinéma, art subversif, 1977).

Par anticipation, Amos Vogel nous livre l’un des traits structurants de l’œuvre filmique de Dominique Gonzalez-Foerster : au sein d’un déploiement descriptif le plus simple, serein et sensible possible, injecter le poison du narratif par quelques gouttes, quelques fines larmes. Celles-ci s’infiltrent souvent par le son (Riyo, Île de beauté, Atomic Park), par le montage (Malus, Gold), toujours par l’intertexte et désormais, par la mise en scène, concentrée et sublimée en nexus scénographique (Belle comme le jour). Elles injectent de la souffrance, de l’angoisse, de l’amour et, comme l’encre dans l’eau, elles parviennent à virer tout le paysage ou l’environnement en rêverie, euphorique (Plages) ou dysphorique (passim). Ainsi, dans chacun des films, la narrativité fait l’objet d’une installation singulière, au sein de plasticités somptueuses de modestie (première période), puis confondantes de perfection haptique (Atomic Park, psaume pour l’argentique) ou optique (Belle comme le jour, épithalame en l’honneur de la Haute Définition). En grande plasticienne cinéphile, Dominique Gonzalez-Foerster restructure, reconfigure et resculpte les constituants filmiques qu’elle nous rend plus intenses, souples et vibrants.

(Nicole Brenez).

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L’association de cinéma expérimental Light Cone fête ses 30 ans,
Le samedi 15 septembre, rendez-vous aux Voûtes pour une soirée de performances, films 16 mm en plein air, installations
dans le 13ème arrondissement.

Puis 3 jours de programmation au Centre Pompidou en novembre.

Télécharger le dossier de presse : Dossierdepresse 30ANS FINAL 80%

Du 6 Septembre au 16 Septembre au Forum des Images

Programmation et site : là 

A Lussas du 19 au 25 Août

Programme du festival : ici

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