Philippe Cote


EXPÉRIENCES SYMPHONIQUES
Mai 31, 2014, 1:08
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Scratch Projection

Mardi 17 Juin 2014 à 20 H 30

CInéma Action Christine
4, rue Christine
75006 Paris

Présenté par Elena Gui, en présence de FLATFORM.

Avec l’essor de la forme symphonique en Europe au XVIème et XVIIème siècle, l’écriture musicale s’imposa comme méthode. L’orchestre subit un agrandissement considérable, les instruments se stabilisèrent, acquérant une autorité nouvelle, certains orchestres devinrent « symphoniques » par synecdoque.

Contemporains de Gustav Malher, les frères Lumière organisent la première projection publique en 1895. Presque aussitôt Méliès, prestidigitateur et propriétaire d’un théâtre, expérimenta en inventant une mise en scène (son théâtre-studio étant utilisé pour les prises de vue) avec acteurs, décors et effets spéciaux, le tout assemblé dans une sorte de récit fictionnel fantastique. La caméra de Méliès fût posée exactement dans l’orchestre du théâtre, la fosse, le lieu traditionnel des musiciens, du chœur et des danseurs, devenant ainsi « l’œil » du cinéma. Du fait de ce renversement, le cinéma peut être vu comme participant à l’évolution de la fonction de l’orchestre, ou comme un prolongement des formes possibles des concerts et des symphonies.

FILMSTUDIE de Hans RICHTER
1926 / 16 mm / n&b / son / 5′ 00

UNE NUIT SUR LE MONT CHAUVE de ALEXEIEFF Alexandre & PARKER Claire
1933 / 16 mm / n&b / son / 8′ 00

KREISE de Oskar FISCHINGER
1933-1934 / 16 mm / coul / son / 2′ 00

SPOOK SPORT de MCLAREN Norman & BUTE Mary Ellen
1940 / 16 mm / coul / son / 7′ 52

PACIFIC 231 de Jean MITRY
1949 / 16 mm / n&b / son / 10′ 00

CHROMOPHONIE de Alexandre VITKINE
1967 / 16 mm / coul / son / 7′ 00

TROMPE L’OEIL de Robert CAHEN
1979 / vidéo / coul-n&b / son / 7′ 00

TRENTO SYMPHONIA de FLATFORM
2012-2014 / vidéo / coul / son / 19′ 25



Hommage à Dovidis
Mai 31, 2014, 1:02
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Cinémathèque Française

Vendredi 20 Juin 2014 – 19h00 

Bonnes vacances
de Jacques Nahum et Pierre Neurisse
France/1954/26’/35mm
avec apparitions de Jean Cocteau, Jean Marais, Georges Braque, Pablo Picasso.
un film de commande sur la côte d’azur transformé en guirlande de rencontres artistiques.

suivi de

Paul Belmondo
Dovidis (collectif)
France/1961/13’/dcp
Emouvante présentation du père sculpteur par le fils acteur, pour une fois passablement intimidé.

suivi de

Derrière le mur
de Jacqueline Meppiel et Mario Marret
France/1967/80’/dcp
avec Harald Hauser, Kurt Stern.
Par deux piliers du cinéma militant, dont le résistant français Mario Marret, documentaire en trois parties décrivant la vie en RDA, avec notamment le résistant allemand Gerhard Leo.

Vendredi 20 Juin 2014 – 21h30

Le ciel, la terre
de Joris Ivens
France/1967/28’/35mm
Film où s’entremêlent des images tirées de bandes d’actualités et des images tournées par Joris Ivens, séduit et bouleversé par le goût de vivre que parvient à sauvegarder, sous les bombes, le peuple vietnamien.

suivi de

Walter Coleman
(présenté par Karin Motet)
Dovidis (collectif)
France/1961/13’/dcp
Portrait d’un peintre américain engagé.

suivi de

Un homme qui dort
de Bernard Queysanne et Georges Perec
France-Tunisie/1973/93’/35mm
d’après Georges Perec avec Jacques Spiesser. avec la voix de Ludmila Mikaël.
Réflexions et expériences psychiques d’un étudiant sur les seuils de la conscience. « Tu poses le livre ouvert à côté de toi, sur la banquette. Tu t’étends. tout est lourdeur, bourdonnement, torpeur. Tu te laisses glisser. Tu plonges dans le sommeil. » (Georges Perec)

Présentation du cycle :

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Alexander Hammid & Herbert Kline – The Forgotten Village
Mai 31, 2014, 12:56
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11 juin 2014, à 19h00 – Centre Pompidou, Paris

Réalisé au Mexique en 1941, The Forgotten Village documente la vie misérable d’une communauté paysanne isolée. Ouvertement propagandiste, le film préfigure certains des codes du cinéma néo-réaliste d’après-guerre. Tourné en décors naturels avec des acteurs non-professionnels, The Forgotten Village associe à la forme documentaire l’histoire fictionnelle du jeune Juan Diego, symbole et espoir d’un avenir meilleur, en proie à l’ignorance et aux réticences des siens à l’égard du changement.

The Forgotten Village, Herbert Kline & Alexander Hammid, 1941, 16mm, nb, son, 68’



Hollis Frampton – L’alphabet comme un colosse
Mai 31, 2014, 12:53
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4 juin 2014, à 19h00 – Centre Pompidou, Paris

Zorn’s Lemma

Photographe, cinéaste et théoricien de l’image, l’Américain Hollis Frampton élabore avec Zorn’s Lemma, film en trois parties réalisé à New York en 1970, un système de correspondances entre les mots et les images, structurées et ordonnées selon la seule logique de l’alphabet.



Festival Côté Court ( Pantin )
Mai 30, 2014, 5:27
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Du 11 au 21 Juin au Ciné 104 à Pantin

Site du festival : http://www.cotecourt.org



THE UPRISING
Mai 28, 2014, 10:49
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de Peter SNOWDEN

The Uprising shows us the Arab revolutions from the inside. It is a multi-camera, first-person account of that fragile, irreplaceable moment when life ceases to be a prison, and everything becomes possible again. This feature-length documentary is composed entirely of videos made by citizens and long-term residents of Tunisia, Egypt, Bahrain, Libya, Syria and Yemen. The film uses this footage, not to recount the actual chronology of events or analyse their causes, but to create an imaginary pan-Arab uprising that exists (for the moment) only on the screen.

deux projections de son film THE UPRISING à Paris au cours du mois de juin.
Le mardi 3 juin à 18h, le film sera montré aux Ateliers Varan dans le cadre du séminaire « Corps, villes, pouvoirs » de l’EHESS, suivi d’un débat auquel il participera:

Et le dimanche 15 juin à 19h, il sera projeté en soirée de clôture du MashUp Film Festival au Forum des Images, en présence de Bruno Tracq (monteur/producteur/co-scénariste) et Olivier Touche (sound design/musique), mais malheureusement en son  absence: ici



AMERICAN SUBLIME : DE LA DÉSUÉTUDE DE L’HOMME
Mai 26, 2014, 8:34
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Mardi 10 Juin 2014 à 20h15

A l’occasion de l’exposition du BAL, Light Cone propose une programmation composée d’œuvres du cinéma expérimental et de films d’artistes, – souvent montrés en 16mm, dont un double-écran des années 60. Leur point commun : appréhender dans sa diversité la notion d’entropie qui traverse les séries photographiques de Lewis Baltz. La dernière séance propose un bref aperçu de la scène californienne de l’époque, avec notamment Gas Station, une œuvre marquante de l’artiste Robert Morris.

La notion d’entropie, si on l’empreinte à la physique, suggère une déperdition constante d’énergie jusqu’à l’explosion, la dissolution, le retour à un degré zéro de l’univers. Parmi les grands penseurs de la seconde moitié du 20e siècle, Gunther Anders a entamé un travail d’analyse et de mise en lumière d’une société américaine malade, dans laquelle l’homme a acquis le pouvoir, par l’essor des nouvelles technologies, de mettre un terme à toute époque. Pour la première fois de son histoire, il est désormais en mesure de s’autodétruire. Bruce Conner montre ce chaos et son caractère irréversible dans Crossroads, film dans lequel il compile des images d’archives du champignon nucléaire causé par l’explosion « Baker » le 25 juillet 1946 sur l’atoll de Bikini.

ASLEEP de Paulo ABREU
2012 / 16 mm / coul-n&b / son / 12′ 20

ATOMIC PARK de Dominique GONZALEZ-FORSTER
2004 / vidéo / coul-n&b / son / 9′ 00

COBRA MIST de Emily RICHARDSON
2008 / 16 mm / coul / son / 6′ 45

FUMÉE de Georges REY
1982 / 16 mm / coul / sil / 3′ 00

CROSSROADS de Bruce CONNER
1976 / 16 mm / n&b / son / 37′ 00

Cinéma des Cinéastes
7, avenue de Clichy
75017 Paris
FRANCE



AMERICAN SUBLIME : ARCHITECTURE OF ENTROPY
Mai 26, 2014, 8:28
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Mardi 27 Mai à 20:15
Cinéma des Cinéastes
7 avenue de clichy, 75017 Paris

A l’occasion de l’exposition du BAL, Light Cone propose une programmation composée d’œuvres du cinéma expérimental et de films d’artistes, – souvent montrés en 16mm, dont un double-écran des années 60. Leur point commun : appréhender dans sa diversité la notion d’entropie qui traverse les séries photographiques de Lewis Baltz. La dernière séance propose un bref aperçu de la scène californienne de l’époque, avec notamment Gas Station, une œuvre marquante de l’artiste Robert Morris.

A partir des années 60-70 nombres d’artistes et cinéastes révèlent un tout nouveau visage de l’Amérique. Robert SMITHSON est le premier à parler de « paysages entropiques » lorsqu’il entreprend ses excursions vers les carrières minières, banlieues et autres lieux dit « périphériques ». A la différence de Lewis Baltz qui représente des espaces délaissés pour dénoncer l’exploitation capitaliste, Smithson démontre qu’elle est dans l’ordre des choses. Dans Spiral Jetty, Robert SMITHSON entreprend un vaste chantier en y construisant dans le Grand Lac salé de l’Utah une spirale faite de boue, de basalte et de sel, évoquant l’infini et suscitant l’expérience d’un décentrement constant. Une volonté d’agir que l’on retrouve aussi dans Fresh Kill de Gordon MATTA-CLARK.

ON THE LINE
de Cathy Lee CRANE
2010 / 16 mm / coul / son / 4′ 38

SPIRAL JETTY
de Robert SMITHSON
1970 / 16 mm / coul / son / 35′ 00

REDSHIFT
de Emily RICHARDSON
2001 / 16 mm / coul / son / 4′ 00

FRESH KILL
de Gordon MATTA-CLARK
1972 / 16 mm / coul / son / 13′ 00



LACRAU de João Vladimiro
Mai 26, 2014, 11:00
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Musée de la Chasse et de la Nature, 62, rue des Archives, 75003 Paris

Projection en avant-première de LACRAU
Mercredi 28 mai 2014 à 19h30
Réalisateur : João Vladimiro (Portugal, 2013, 99’). Prix du meilleur long métrage au festival IndieLisboa 2013.

Pour João Vladimiro « si le scorpion pouvait voir et si la vipère pouvait entendre, il n’y aurait pas d’échappatoire. La vipère est sourde et le scorpion ne peut pas voir, il en est et il doit en être ainsi, de la même manière que la campagne est paisible, la ville animée et l’être humain impossible à satisfaire.

Lacrau est un voyage de la ville vers la nature, qui exige le retour “à cette courbe où l’homme s’est perdu”. Un moyen de s’échapper de ce chaos et de ce vide affectif que nous appelons le progrès. La recherche de sensations et de relations humaines parmi les plus anciennes. L’étonnement, la peur de l’inconnu, la perte du confort élémentaire, la solitude, la rencontre de l’autre, l’autre “animal” et l’autre “végétal”. Une plongée à la recherche d’un lien avec le monde. »

En présence du réalisateur (sous réserve).



Paul Sharits
Mai 22, 2014, 4:31
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28 mai 2014, à 19h00- Centre Pompidou

Trois années auront été nécessaires à Paul Sharits pour réaliser S : TREAM : S : S : ECTION : S : ECTION : S : S : ECTIONED (1968-1971), un film pensé par l’artiste américain comme une exploration de la matérialité de la bande filmique basée sur « la dualité du défilement de l’illusion et du défilement réel du film à travers le projecteur ». Synthèse des éléments et des effets contradictoires propres à sa nature cinématographique, ce film – divisé en trois sections de durée identique – conduit à reconsidérer radicalement l’acte de vision.

S : S : tream : S : S : ection : S : ection : S : S : ectioned, Paul Sharits, 1968-1971, 16mm, coul, son, 42’



LA LIGNE D’OMBRE de Dominique Dubosc
Mai 21, 2014, 7:11
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vendredi 23 Mai à 20:30 à l’Etna

LA LIGNE D’OMBRE de Dominique Dubosc / 2014, 90′

« A la fin des années 60, j’ai fait mon service militaire au Paraguay, comme professeur d’ethnologie à l’université Catholique. Puis j’ai réalisé mon premier film, qui est peut-être aussi le premier film paraguayen.
C’est la raison pour laquelle le festival d’Asunción m’a invité… quarante ans plus tard – une vie plus tard !
J’ai cru d’abord que j’avais tout oublié, ou plutôt que j’étais suspendu au-dessus de ces quarante ans d’absence,
incapable de voir à cette hauteur la plus petite trace de vie, d’apercevoir autre chose que ces ombres transparentes,
ces souvenirs sans force qui peuplent la mémoire.
Par chance ou par habitude, j’avais emporté ma caméra, et c’est en filmant au hasard que j’ai retrouvé des fragments,
des échos, des cris restés en l’air, de ce temps lointain où j’ai passé la ligne d’ombre qui marque la fin de la première jeunesse. »

_______________________________________________

[entrée libre, participation libre, apportez de quoi partager à boire et à manger !]

l’Etna
71, rue Robespierre
93100 Montreuil, France
M°Robespierre
[après la grande porte, passer la cour, 1ère porte à droite sous le porche, puis à l’étage, à gauche]



Soirée de lancement des Cahiers d’À bras le corps
Mai 21, 2014, 12:04
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Vendredi 23 Mai à partir de 18 H 30
Les Voûtes
19 rue des frigos, 75001 Paris

Pour fêter la parution du premier numéro de sa revue, Les Cahiers d’À bras le corps, notre association organise une grande soirée mêlant lectures, performances, projections et concerts dans tous les espaces des Voûtes.
Un ensemble de propositions tactiles, visuelles et sonores plus expérimentales les unes que les autres qui devraient mettre tous nos sens à l’épreuve.
Amateurs de sensations fortes et inédites, vous êtes les bienvenus, car c’est gratuit !
Organisée, comme le premier numéro de la revue, autour du thème de l’épreuve, cette soirée de lancement accueille des propositions inscrites dans plusieurs champs de la création artistique : cinéma / musique / performance.

Cette soirée sera une épreuve.

18:30 : Ouverture des portes

19:00, voûte n°2 : Présentation de l’association et de la revue

19:15, voûte n°2 : Objet : question de corps (extrait), Damien Marguet, lecture Ourlet dream médiane – Envers soi bestiaire, Julien Bal, lecture La Grande Peur dans la montagne (extrait), Damien Marguet, lecture Rouge forêt – Pupitre IV, Julien Bal, lecture

20:00, voûte n°2 : vouloir croire entrevoir, Pauline Le Boulba et Violeta Salvatierra, performance

21:00, voûte n°3 : Jusqu’à ce qu’il neige, Véronique Albert, performance

21:30, voûte n°2 : In marais, Jacques Perconte et Julien Ribeill, performance

22:00, voûte n°3 : L’âge de la lumière (Man Ray, 1933), Louise Moaty, lecture

22:30, voûte n°2 : Loup, Désir et Borderline (2013), Clément Postec, film

22:45, voûte n°2 : Un peu en avance (2006), Olivier Guidoux, film

23:30, voûte n°2 : Slip, ciné-concert

Exposition

Marc Ulrich, photographies, voûte n°3

Installation

Times Square, Damien Marguet, voûte n°3



Projection – Jason Halprin
Mai 21, 2014, 11:50
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SAMEDI 24 MAI 2014 À 21H
[entrée libre, participation libre, apportez de quoi partager à boire et à manger !]

l’Etna
71, rue Robespierre
93100 Montreuil, France
M°Robespierre
[après la grande porte, passer la cour, 1ère porte à droite sous le porche, puis à l’étage, à gauche ]

Jason Halprin vit et travaille à Chicago.
Travaillant dans le champ du documentaire expérimental, l’artiste américain Jason Halprin utilise de nombreux supports et techniques filmiques : Super-8, 16 mm, développements artisanaux, tirages optiques, archives vidéo, etc.

« Mon travail explore la façon dont nous sommes marqués par notre environnement immédiat et comment la géographie d’un lieu peut affecter et définir une culture et ses interactions sociales. Bien que mes voyages cinématographiques soient majoritairement citadins, mon caractère m’entraîne vers les grands espaces. Les villes et la nature sauvage ouvrent tous deux de nouveaux chemins mentaux. Le mouvement entre ces deux pôles s’imprime profondément dans mes pensées. Et puis, je suis hanté par les paysages. » Jason Halprin

PROJECTION EN PRÉSENCE DU CINÉASTE (durée 70′) :

• ALL NIGHT & ALL DAY / 2010, Super 8, 10′

• SHOOT OUT THE STARS / 2010, Super 8, 4′

• I COLONIZE THE GOLDEN TRIANGLE (FROM BEHING GLASS) / 2012, Super 8, 13′

• AGNES & ME (A SELF-PORTRAIT) / 2011, 16mm sur vidéo, 8′ + rushes 16mm

• WAR HEB JE VOOR HET GEKEKEN / 2004, 16mm, 8′

• IMPERFECT VIDEO / 2013, VHS sur HD, 20′

Creating a body of work in Experimental Documentary, Chicago-based artist Jason Halprin utilizes diverse mediums including small gauge film, hand-processing, optical printing, and archival video. He says:

“My work explores the way humans are affected by their immediate surroundings, and how the shape of a location can impact social interaction and culture. Though my cinematic journey has a strong presence in urban environments, the open air is really where my artistic heart lies. Cities and wilderness both open cerebral pathways that might otherwise not be taken, and the movement between them has a profound impact on my thought patterns. As for me, I am haunted by landscape.”



Minor Cinema – Narration subliminale
Mai 17, 2014, 11:30
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21 mai 2014, à 19h00 – Centre Pompidou, Paris

Dans son essai Toward a Minor Cinema rédigé en 1989, Tom Gunning porte une attention particulière à l’émergence, au tournant des années 1980, d’une nouvelle génération de cinéastes expérimentaux américains capable, selon l’historien du cinéma, d’apporter un second souffle à l’avant-garde cinématographique américaine. Qualifié de mineur, terme emprunté par l’auteur à Deleuze et Guattari, le cinéma de Phil Solomon, de Janie Geiser ou encore de Lewis Klahr opère un retour des formes narratives et l’abandon de toute forme d’héroïsation de la figure du cinéaste.

Séance introduite par Suranjan Ganguly (professeur à l’université du Colorado).

Remains to be seen, Phil Solomon, 1989, S8mm (transféré sur 16mm), coul, son, 17’
Snowman, Phil Solomon, 1995, 16mm, coul, son, 8’
Still Raining, Still Dreaming, Phil Solomon, 2008-2009, fichier numérique, coul, son, 12’
Immer Zu, Janie Geiser, 1997, 16mm, nb, son, 8’30
Ultima Thule, Janie Geiser, 2002, 16mm, coul, son, 10’16
Pony Glass, Lawis Klahr, 1997, 16mm, coul, son, 15’
Lethe, Lewis Klahr, 2009, fichier numérique, coul, son, 10’

Remerciements :
Phil Solomon, Lewis Klahr, Suranjan Ganguly, LUX (Londres) et Light Cone (Paris)



PATRICE KIRCHHOFER
Mai 17, 2014, 11:25
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Scratch Projection

La projection initialement prévue le Mardi 13 a été reportée au Mardi 20